hier, nous avons décidé avec julien de nous « balader » dans le quartier où nous logeons. Nous avons marché un moment pour nous rendre au marché artisanal de Soumédioune. Celui ci se trouve en bord de mer et se rejoint par un grand boulevard. Boulevard très différent de ce que l’on entend chez nous. Les scooters et les bus rapides (cf photos) se croisent et s’entrecroisent toujours à une vitesse folle. Les étals s’installent entre les deux voies de circulations ainsi que les taxis et des jeunes qui décortiquent des voitures ; les trottoirs sont envahis de petites échoppes, d’enfants qui jouent, de boue, de personnes âgées assis à même le sol et de détritus.
Arrivés près de la mer, nous peinons à reconnaître le marché tellement l’endroit est en chantier. … a gagné l’appel d’offre de l’Etat afin de construire un tunnel sur la corniche de soumédioune. Le chantier s’étend sur plusieurs centaines de mètres et rend difficile l’accès au marché. Apparemment, les travaux ont commencé il y deux ans mais l’on dirait qu’ils commencent à peine. Enfin à l’intérieur du marché (qui ressemble déjà plus à ce que j’imaginais J) tous les commerçants nous accostent. J’appréhendais un peu le marchandage et le fait de refuser leurs « avances » mais selon julien je suis « une tueuse ».lol. nous sommes ensuite rentrés, en appréhendant chaque passage à proximité d’un marché tellement l’odeur des poissons séchés était insupportable.
A noter que personne ne nous a accosté comme au centre ville de Dakar, exceptée une fois à l’intérieur du marché. Nous avons bien marché 2h30 sans entendre de réelles sollicitations…
le soir, changement de décor total : nous nous rendons à une soirée dans un bar boîte chic du centre ville pour une soirée qu’Aymeric organise. Champagne, Caviar et Cigare au programme….. sans commentaire. Nous pensons finalement ne pas y aller car nous sommes crevés. Clémence, la copine de cédric, nous prépare de l’atiéké, semoule ivoirienne, avec du poisson braisé, et nous apprend quelques expressions en wolof. Bonne soirée !
Arrivés près de la mer, nous peinons à reconnaître le marché tellement l’endroit est en chantier. … a gagné l’appel d’offre de l’Etat afin de construire un tunnel sur la corniche de soumédioune. Le chantier s’étend sur plusieurs centaines de mètres et rend difficile l’accès au marché. Apparemment, les travaux ont commencé il y deux ans mais l’on dirait qu’ils commencent à peine. Enfin à l’intérieur du marché (qui ressemble déjà plus à ce que j’imaginais J) tous les commerçants nous accostent. J’appréhendais un peu le marchandage et le fait de refuser leurs « avances » mais selon julien je suis « une tueuse ».lol. nous sommes ensuite rentrés, en appréhendant chaque passage à proximité d’un marché tellement l’odeur des poissons séchés était insupportable.
A noter que personne ne nous a accosté comme au centre ville de Dakar, exceptée une fois à l’intérieur du marché. Nous avons bien marché 2h30 sans entendre de réelles sollicitations…
le soir, changement de décor total : nous nous rendons à une soirée dans un bar boîte chic du centre ville pour une soirée qu’Aymeric organise. Champagne, Caviar et Cigare au programme….. sans commentaire. Nous pensons finalement ne pas y aller car nous sommes crevés. Clémence, la copine de cédric, nous prépare de l’atiéké, semoule ivoirienne, avec du poisson braisé, et nous apprend quelques expressions en wolof. Bonne soirée !
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